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sabato 23 settembre 2023

UNE VIE SANS. La résilience quotidienne. Témoignages de vie. Livres, format kindle.

 



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FORMAT KINDLE AMAZON

A la recherche du bonheur, quelle est la voie juste que l'on doit suivre ? Une famille heureuse, calins et dialogue. C'est ce qu'on lit dans tous les livres de contes, dans tous les manuels de pédagogie et de psychologie que l'on étudie à l’Université, dans les brochures distribuées dans les rues. Mais en est-il toujours ainsi ?L’oeuvre “Une vie sans”, de Giovanni Tommasini, peut être introduite par une phrase emblématique d'Oscar Wilde: «Les enfants commencent par aimer leurs parents, ensuite ils les jugent. Rarement, voire jamais, ils leur pardonnent».Je crois que le début est justement cela, l’amour d'un enfant envers ses parents qui n'est pas payé de retour, et qui, au contraire, est utilisé comme bélier pour lui infliger des doutes, de l'insécurité, de la peur et de l'angoisse. Une angoisse frénétique et continue, qui ne laisse pas de place aux dialogues, aux éclaircissements, à une trève psychologique, mais qui use tant l'esprit que le corps obligeant le sujet à se réfugier dans l'écriture ou dans des dialogues imaginaires avec des êtres évanescents espérant qu'ils l'emportent loin de la prison de verre, pathologique, dans laquelle il est né.

GIOVANNI TOMMASINI AMAZON.FR




LE LIVRE SUR AMAZON

FORMAT KINDLE EBOOK

Souffrir ensemble 

Préface de Roberto Soriani


Cher Giovanni, quel plaisir d’avoir de tes nouvelles après tout ce temps ! Et plus encore, sachant que tu vas bien et que tu t’es lancé dans une nouvelle entreprise ! Je dois te dire que cela ne me surprend pas tellement, étant donné qu’avec le temps, je me suis habitué au fait que tu sois “un homme aux mille ressources”. Certes, je ne m’attendais pas à te voir devenir écrivain, même si selon toi, cela s’est fait “par hasard”. J’ai accepté avec plaisir de lire ton projet de livre concernant l’histoire entre Cesare et toi et… Que c’est beau ! Mes compliments et bravo pour ce travail réussi, comme d’habitude, dois-je dire... Ce fut un plaisir de faire la relecture de l’histoire de Cesare, et de  comprendre, mieux encore, ce qui s’est passé durant ce laps de temps et, grâce à ton récit, de comprendre aussi pourquoi cela a été possible... Je dois avouer, avant tout, que j’ai été frappé par la lucidité, la simplicité et, en même temps, par la profondeur de ce que tu as décrit ; en peu de mots, simples, tu as réussi à peindre le monde, aujourd’hui encore  étrange et mystérieux, de l’autisme. Je me suis demandé aussitôt ce qui a si bien fonctionné dans votre relation et ce qui vous a permis d’en arriver là. La première réponse a été : l’EMPATHIE ! C'est un mot étrange, trop galvaudé, et souvent mal compris. En lisant l’histoire que tu as écrite, on en comprend bien le sens étymologique : “Souffrir ensemble”. Cesare t’a permis d’entrer dans son monde car il a senti que toi aussi tu avais souffert, et que grâce à cela tu pouvais comprendre ce qu’il éprouvait. Puis, il t’a “fait souffrir”, te mettant à l’épreuve, testant ta capacité à supporter aussi ses propres souffrances. Ce n’est qu’ensuite qu’il a pu se fier à toi et, donc, se confier. La seconde réponse fut ton “absence de peur” ou  ta “NON PEUR”. Attention : ne pas confondre avec le courage. C’est le fait de ne pas t'être laissé effrayer par les monstres qui peuplaient le monde de Cesare, d’avoir su les affronter à ses côtés, lui prouvant qu’ils pouvaient être, sinon anéantis pour toujours, du moins neutralisés. Pourquoi as-tu réussi ? Un peu par l’inconscience due à ton inexpérience professionnelle, mais surtout parce que tu as su, par ton introspection, découvrir que toi aussi tu avais des monstres et que tu les avais neutralisés... En définitive, ce fut, donc, ta grande honnêteté émotionnelle et intellectuelle qui t’a permis d'avoir, avec Cesare, les résultats que vous avez obtenus ensemble. Je suis content d'avoir travaillé avec toi, d'avoir pu relire cette histoire et d'écrire cette préface. Surtout, reste toi-même, garde la même honnêteté et continue à combattre les monstres qui peuplent notre monde. Ton cher Roberto     

                                                                                    Docteur Roberto Soriani         

Psychiatre Santé Mentale




LA DERNIERE LETTRE A MA PREMIERE FIANCEE

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Un livre, ce livre, à lire avec tout son cœur, grand ouvert. L'auteur dès les premières phrases, nous fait accéder, avec une habileté pleine de charme, à une sensibilité extrême et délicate ; à lire comme une   longue cantilène dans  laquelle  on  se laisse  envelopper par les sensations ; on  en  vient  à  s'oublier soi-même  pendant cette lecture. Les pages de ce livre font alterner la conscience de la maturité  issue de la connaissance d'un  temps révolu avec la douce ingénuité  des rêves,  dérivant de l'inconscience d'un temps qu'on  voudrait encore présent, celui  de notre jeunesse,  dans un  solo de voix masculine après celui d'une voix  féminine, au  souvenir de  Michela. Ces pages nous parlent de façon véridique et directe de l'amour, un amour sous toutes ses formes et dans toute son ampleur, dans la multitude d'impressions qu'il nous offre et qui influence notre propre existence, au cours du temps ; il juge nos choix et nos critères de distanciation envers les événements dont nous avons été les protagonistes tout au long de notre histoire. Ce livre présente deux concepts : celui du temps en  tant que  souvenir et celui  de  la mémoire comme tribut, évoqués par le simple visage de quelqu'un que nous avons aimé et par  tout ce qu' il nous a fait éprouver. Un temps, dit l'auteur, dans lequel l'autre existait pour être rencontré, ce pouvoir extraordinaire de  la  rencontre  de  quelqu'un  lors  de  notre  cheminement  solitaire.


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ouriait tout le temps, à tout le monde, à la vie, à son image reflétée dans le miroir et, passée la porte de l'immeuble,  il rencontrait le mécanicien du garage de la Guzzi à qui il souriait, puis à quelques pas de là,  Isolata.       Isolata avait un magasin d'alimentation où, dès l'entrée, cela sentait bon les fruits si mûrs qu'ils semblaient demander à être mangés, et le pain dont l'odeur semblait croquante, un parfum de farine chaude te prenait à bras le corps. Faire la queue, en la regardant prendre tout son temps pour faire les comptes des achats de ses clients, était un vrai plaisir. ........


LE VIRUS C'EST NOUS
REFLEXIONS PENDANT LA QUARANTAINE

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C'est le huit mars qu'on commença à envisager les premières limitations aux libertés individuelles, dans le but de faire barrage à une épidémie imminente causée par le coronavirus. Quelques jours auparavant le “premier cas” à Codogno fit que tout le monde prit conscience que l'on ne pouvait plus regarder les contagions et les morts en Chine en “spectateur”, comme au cinéma.Le virus était parmis nous, et nous seulement pouvions affronter “directement” l’urgence sanitaire. Un important tam tam médiatique se fit entendre pour tenter de faire comprendre que l'unique traitement thérapeutique à l'horizon, l’unique vaccin disponible, n'étaient rien d'autre que NOUS.La réponse fut désordonnée, révélant une impréparation, pour ainsi dire, à la demande de “prise de responsabilité”.


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La descente, et en bas le sentier, chemin de terre qui me conduit jusqu'au coeur de la forêt.
J'ai l'impression d'être arrivé dans une oasis enchantée, enfin.
Personne autour de moi, juste après avoir quitté l’asphalte, c'est comme si j'étais revenu par magie un an en arrière, décembre 2019, plus de masque, plus de statistiques quotidiennes, le virus n'était alors qu'une inquiétude d'ordre numérique, il suffisait d'être vigilent, de ne pas ouvrir de mail suspect, ni de pièce jointe, ni de lien, envoyés par des inconnus.
La forêt devenait plus dense, et moi toujours plus seul, les feuilles de  l'automne craquaient sous  mes pieds, à chacun de mes pas.
J'avais couru une heure environ et maintenant il me fallait remonter, et retrouver le masque, les statistiques quotidiennes, les différentes zones, rouge, orange, jaune, et les blanches réclamées par les gouverneurs pressés d'encaisser et qui font de l'esbroufe.
Une halte avant de retourner  vers l'interdiction d'être heureux.
Soudain, la voix d'une petite fille et la réponse d'un loup à la voix rauque me firent sursauter et, pris de panique, je dus me cacher derrière un buisson.
Je rêve ou bien c'est moi,  Giovanni Tommasini, qui cours ce matin du premier décembre 2020 pour respirer un peu d'air frais,  sans masque ?
“Eh ! Toi, où vas-tu jolie demoiselle avec ton capuchon rouge?”
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